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« Le Magazine de la santé » finalement conservé, qui animera l’émission ?

C’est une grande nouvelle pour tous les fidèles du « Magazine de la santé », sur France 5. D’abord condamnée par la direction de la chaîne, l’émission est bien conservée pour la rentrée. Une annonce surprise faite dans les colonnes de l’hebdomadaire La Tribune Dimanche.

Le numéro 2 de France Télévision, Stéphane Sitbon-Gomez, dévoile même l’identité du prochain animateur du « Magazine de la santé ». Un visage bien connu de la case. Si le docteur Jimmy Mohamed animait déjà les débats le lundi et le mardi, alors que Marina Carrère d’Encausse endossait le rôle du mercredi au vendredi, ce sera bien l’ancien chroniqueur de C8 ou d’Europe 1 qui prendra totalement les rênes du magazine à la rentrée.

Également chroniqueur sur RTL, dans la tranche d’Yves Calvi, Jimmy Mohamed est devenu en quelques années une référence en termes de santé à la télévision et sur les réseaux sociaux.

Son compte Instagram totalise par exemple plus d’1,4 millions d’abonnés. Sur TikTok, il réunit plus de 1,6 millions d’abonnés. Des chiffres colossaux. En vidéo verticale, il distille ses conseils santé en prenant des exemples de la vie courante. Et ça marche.

@dr.jimmy.mohamed

Comment choisir une bonne pâte à tartiner ?

♬ son original – Dr Mohamed Jimmy

RSF : Le journalisme en voie de disparition ?

C’est un échec. Un terrible recul pour les démocraties. Et une alerte sans précédent. Dans son classement annuel de la liberté de la presse, Reporters sans frontières dénonce un phénomène d’ampleur. Des menaces grandissantes envers le journalisme. Envers la liberté d’informer.  

À l’image de la dégradation de la situation en Argentine, depuis l’arrivée du nouveau Président Javier Milei, pays qui chute de 26 places dans le nouveau classement annuel RSF, c’est le monde entier qui revient en arrière.  

Alors qu’en 2024, plus de la moitié de la population mondiale est appelée aux urnes, Anne Bocandé, directrice éditoriale de RSF, a trouvé les mots justes pour analyser le phénomène actuel : « Les États et des forces politiques, quel que soit leur bord, jouent de moins en moins leur rôle dans la protection de la liberté de la presse. Cette déresponsabilisation va parfois de pair avec une remise en cause du rôle des journalistes, voire une instrumentalisation des médias dans des campagnes de harcèlement ou de désinformation. Le journalisme digne de ce nom est au contraire la condition d’un système démocratique et de l’exercice des libertés politiques. »

Parmi les autres pays qui rétrogradent sévèrement au classement, l’Afghanistan flirte avec la Birmanie, la Chine ou la Corée du Nord en bas de classement. Dégringolade également de 13 places pour l’Azerbaïdjan, pays toujours plus totalitaire, écrasant les opposants. La dictature du Président Aliev se place à la 166e position de ce classement qui compte 180 pays. La Russie est 164e.

Le monde se dote chaque jour un peu plus de « prédateurs revendiqués de la liberté de la presse », comme l’explique RSF. Si la Norvège reste en tête du classement, l’Érythrée ferme la marche, derrière la Corée du Nord. Malgré les secousses politiques et la montée du Rassemblement National, la France passe de la 24e à la 21e position. Une amélioration liée aux autres pays plutôt qu’aux indicateurs. Ces derniers stagnent côté français.

Ainsi, les conditions d’exercice du journalisme sont désormais mauvaises dans plus de 3 pays sur 4. Des médias attaqués, des médias parfois interdits, des démocraties en voie de disparition sur certains continents. Pressions politiques et journalisme ne font pas bon ménage.

Un état des lieux qui inquiète alors que « 2024 est la plus grande année électorale de l’histoire mondiale ». Quasiment la moitié de la population est concernée par au moins un scrutin.

Léa Salamé : « Ce qui compte, c’est qu’il y ait un moment »

C’est la magie des réseaux sociaux. Une boîte à archives qui vous fait ressortir une petite phrase de nulle part. Ces dernières heures, c’est Léa Salamé qui en fait les frais. Les propos de la journaliste de la matinale (7/9H) sur France Inter et de l’émission Quelle époque sur France 2 font énormément réagir.

En cause, l’extrait d’un entretien donné au média en ligne Konbini. Cette interview date d’avril 2023. Une petite phrase était complètement passée en dehors de radars et de la vigilance de certaines langues de vipère sur X (ex-Twitter). Et aussi des fervents défenseurs du métier de journaliste.

Léa Salamé possède sa propre théorie sur l’information et la recherche de la vérité. Une théorie qui ne colle d’ailleurs pas tout à fait avec ce que certains ont comme image du métier de journaliste.

« Le plus important, évidemment que ce n’est pas la question, c’est le moment. Ce n’est même pas la réponse, c’est le moment. C’est-à-dire que peu importe la question, peu importe la réponse. Il faut qu’il y ait un moment. Moi, mon obsession le matin sur Inter, par exemple, c’est qu’il y ait un moment. C’est pas d’aller chercher, déceler la vérité, c’est qu’il y ait un moment. »

Voilà une journaliste qui aurait donc abandonné l’idée d’aller chercher la vérité auprès de ses interlocuteurs. Surtout si on sort sa phrase du contexte. Léa Salamé préférant donc « la séquence forte », « le buzz », comme l’analysent beaucoup d’internautes via les réseaux sociaux.

Une curieuse conception du journalisme, qui fait bondir les fervents défenseurs du métier. Le journalisme a beaucoup évolué ces dernières années. La société, aussi, parallèlement. On dit souvent que le journalisme est aussi un reflet de la société.

En effet, les directions de plusieurs médias cherchent dorénavant les reprises. Une émission qui ne fait pas réagir sur les réseaux sociaux, dont les extraits ne sont pas repris par l’AFP ou d’autres médias, n’est plus une bonne émission…

La course à l’audience, aux clics, passe par l’engagement des auditeurs/téléspectateurs/viewers. Et susciter des réactions négatives sur un sujet est le gage d’obtenir de bonnes audiences. Un cercle vicieux.

Retour de Mask Singer : audiences et premiers éliminés

Retour réussi pour Mask Singer, sixième saison. Toujours animé par Camille Combal, le divertissement familial de TF1 faisait sa réapparition vendredi soir. Avec l’arrivée de l’humoriste Inès Reg et de l’animateur Laurent Ruquier dans le jury, le show promettait de nouveaux rebondissements.

TF1 se place en deuxième position des audiences de la soirée, avec 3,12 millions de téléspectateurs, soit 17,2% du public jusqu’à 22h28. La deuxième partie de l’émission, jusqu’à 23h49, a totalisé 3,08 millions de téléspectateurs (24,7% du public).

Le lancement de la saison 5, en avril 2023, avait attiré 3,69 millions de personnes (18,6% du public) en première partie.

Camille Combal et son jury d’enquêteurs nouvelle version ont démasqué deux personnalités, hier soir. Suite aux prestations d’un Hippopotame, d’un Popcorn, d’une Geishamuraï, d’un Hamster, d’une Perle et d’un Léopard, le public a assisté aux premières éliminations.

Quelles sont les deux célébrités cachées derrière les personnages éliminés ? Fin de l’aventure précoce pour le Hamster. Une fois démasqué, surprise, le journaliste de TF1 Jacques Legros se dévoile… Les enquêteurs étaient bien loin de penser à lui. Parmi les indices : « sa voix vous est familière ». Si vous regardez le 13 heures de TF1 régulièrement, oui, peut-être. Mais encore… « Mon costume n’est pas choisi au hasard » ou la ville d’Avignon et le chiffre 13. Il faut avoir les références… Dur, dur.

Seconde élimination de la soirée, le Popcorn a pris la porte ! Retour à la maison pour… Chantal Goya ! L’enquêtrice Inès Reg a trouvé grâce aux différents indices. « J’ai vendu des dizaines de millions d’albums », « des défis, des chansons, des costumes » ou encore « sa vie n’a pas toujours été facile, elle a connu des hauts et des bas ».

Une découverte plus simple que la précédente. Suite des enquêtes de Mask Singer vendredi prochain.

Ukraine : Un cannibale envoyé sur le front

Nouvelle polémique sur le front russe. Ce n’est pas nouveau, la Russie fait appel à des prisonniers pour aller combattre en première ligne en Ukraine. Avec à la clé une remise de peine s’ils survivent… Mais aujourd’hui, une nouvelle recrue fait beaucoup parler.

Les médias russes s’inquiètent de l’arrivée d’un certain Dmitri Malyshev. Exfiltré d’une peine de prison de 25 ans. Son profil inquiète particulièrement. Cet homme avait été emprisonné pour avoir tué, démembré et cuisiné un homme ! Rien que ça. Sur fond de querelle homophobe, il aurait même cuisiné son cœur avant de le manger. Un film d’horreur, ou pire. Du cannibalisme.

Originaire de Volgograd, voilà Dmitri Malyshev sur le front ukrainien. Les médias russes retracent son parcours jusqu’à ses derniers drames. Il était appelé le « briseur de cœur »… Un tueur capable de tué « à coup de pied de biche », « d’arracher un cœur » puis de le « faire frire avec des légumes et de le manger » ! Filmant le tout sur son téléphone…

Contacté par plusieurs médias, Malyshev a récemment tenu à s’excuser de ses gestes, « réalisés sous l’emprise de l’alcool ». Comme s’il était encore possible de le réhabiliter.

Condamné depuis 2015 à cette lourde peine de 25 ans de prison, voilà le meurtrier dans la nature. En Ukraine. Auprès d’autres soldats russes. Mais si son histoire apparaît actuellement dans les médias russes, c’est parce que ce soldat « cannibale » est à l’hôpital. Blessé en début d’année 2024.

« Lors d’un assaut, une grenade m’a touché. Ma mâchoire est cassée, il y a des éclats d’obus dans mon genou et mon bras gauche », a-t-il confié.

Sa sortie de prison et son engagement en Ukraine dans l’armée russe fait écho à d’autres publications de médias russes sur des citoyens sortis de prison par le gouvernement pour s’engager sur le front.

Selon Olga Romanova, directrice d’un groupe indépendant de défense des droits des prisonniers, la Russie a probablement recruté 100 000 personnes au sein de ses geôles pour combattre en Ukraine. Parmi eux, Vladislav Kanyus, condamné en 2022 à 17 ans de prison pour avoir tué sa petite amie deux ans auparavant

Phobique, Julia Vignali dévoile l’émission à laquelle elle ne participera jamais

Non, c’est non. Malgré les appels du pied, l’animatrice de France 2 ne veut pas en entendre parler. Julia Vignali est régulièrement sollicitée pour participer à une célèbre émission de France Télévision. Sauf que ça ne lui dit vraiment rien.

Depuis le départ de Sophie Davant pour France 3 et Europe 1, Julia Vignali a pris la suite avec grand plaisir dans l’émission de ventes aux enchères « Affaire conclue ». Celle qui co-présentait auparavant Télématin devient une figure incontournable des programmes de France 2.

Ainsi, elle anime aussi désormais avec le mentaliste Fabien Olicard l’émission « Tout le monde joue avec la mémoire ». La femme de Kad Merad revient d’ailleurs avec un nouveau numéro ce samedi 4 mai dans lequel on devrait apercevoir Virginie Hocq, Magali Ripoll, Mélanie Bernier, Max Boublil et Keen’V.

Invitée de « Culture Médias » (Europe 1) pour faire la promotion de ce rendez-vous en prime time, Julia Vignali s’est confiée. Les auditeurs ont pu découvrir sur ce qu’elle n’aime pas et ce qu’elle… n’aime pas. Selon l’animatrice, impossible de la voir un jour au micro de l’émission de Nagui « N’oubliez pas les paroles » pour nous dévoiler son timbre de voix. Dommage…

Mais l’émission dans laquelle il semble totalement impossible de la voir évoluer, c’est un jeu d’aventure mythique : Fort Boyard ! « Je ne pourrai jamais faire Fort Boyard. Je ne pourrai même pas monter sur le fort tellement j’ai le vertige », confie-t-elle.

La production lui a déjà proposé de prendre le bateau pour le fort à huit reprises ! « Il y a plein de jeux et de trucs comme ça, que je ne ferai jamais dans ma vie ! » Non, c’est non.

Même si ces révélations n’ont rien de nouvelles puisque déjà en 2022, sur RTL, elle confiait avoir une peur bleue de monter dans le célèbre fort… Décidément.

L’OM tient tête à l’Atalanta et peut encore rêver d’une finale (résumé et buts)

Un bijou. Si l’OM n’a pu faire mieux qu’un match nul (1-1) à domicile en demi-finale aller d’Europa League face à l’Atalanta Bergame, le geste de la soirée est à mettre au crédit d’un Marseillais. Encouragé quelques jours avant par Emmanuel Macron en personne, Chancel Mbemba a brillé. Le défenseur central international congolais s’est même mué en buteur…

Son tir enveloppé pied droit a trouvé la lucarne du portier italien. Nous sommes alors à la 20e minute de jeu. L’Olympique de Marseille venait de passer un premier quart d’heure difficile, bloqué dans son camp par le pressing italien incessant et déjà mené au score. Scamacca avait fait faux bond à la défense olympienne pour l’ouverture du score (0-1, 11e).

Poussés par un Orange Vélodrome en mode volcan, les Marseillais vont redresser la tête, se lâcher et même s’offrir les meilleures occasions.

D’abord par Aubameyang, seul face au gardien en fin de première période, bien servi par Clauss. Puis à nouveau d’une reprise de la tête après l’heure de jeu. Quelques secondes après son entrée en jeu, Ounahi ouvre lui aussi son pied mais son tir finit sur l’arrête des cages italiennes ! À quelques millimètres près… Mais ça ne rentre pas et les 65 000 supporters présents ce jeudi soir doivent se contenter de ce résultat.

Avec une défense solide, autour de l’Argentin Balerdi, de plus en plus fiable, et avec le retour des cadres, l’OM peut nourrir tous les espoirs. L’Atalanta Bergame a montré des qualités mais aussi des largesses défensives.

Rendez-vous jeudi prochain pour leur « finale », ce match retour qu’il faudra remporter, d’une façon ou d’une autre. Dans le temps réglementaire, en prolongation ou aux tirs au but. Mais cette fois, ce sera à Bergame.

Coup dur pour un taulier des Bleus et du PSG, le message de soutien de Kylian Mbappé

C’est une très mauvaise nouvelle pour l’équipe de France, à un peu plus d’un mois du début de l’Euro en Allemagne. Une mauvaise nouvelle également pour le Paris-Saint Germain, au coeur de son sprint final pour jouer la finale de la Ligue des Champions et remporter la Ligue 1.

Dortmund, mardi soir, 40e minute de jeu. Lucas Hernandez s’assoit. Il ne peut pas continuer. Son genou gauche s’est bloqué dans le sol à la 36e minute de jeu, alors que Fullkrug ouvrait le score pour les Allemands. Le défenseur central gaucher du PSG fait grise mine. Il connaît cette douleur.

Ses coéquipiers comprennent petit à petit que c’est grave. Son genou est vraiment touché. Lui qui avait déjà subi une rupture des ligaments croisés du genou droit lors de la Coupe du monde au Qatar va devoir repasser par la table d’opération.

Fin 2018 puis début 2019, il avait déjà subi une grosse entorse du genou droit puis une distorsion du ligament… Des alertes à droite avant la grosse blessure de novembre 2022. A-t-il eu des alertes au genou gauche précédemment cette saison ?

Après des examens complémentaires et une IRM ce jeudi, Lucas Hernandez est fixé : Rupture des ligaments croisé du genou gauche. Le PSG vient de communiquer. Il va subir une intervention chirurgicale dans les tout prochains jours. Une absence qui peut aller de 4 à 8 mois selon les techniques de rééducation.

Très vite, cet après-midi, son coéquipier chez les Bleus et au PSG (pour encore un mois) poste sur son compte Instagram un message d’encouragement. « 𝙈𝙤𝙣 𝙜𝙪𝙚𝙧𝙧𝙞𝙚𝙧, 𝙐𝙣𝙚 𝙣𝙤𝙪𝙫𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙚́𝙥𝙧𝙚𝙪𝙫𝙚 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙡𝙚 𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙩𝙪 𝙣𝙚 𝙨𝙚𝙧𝙖𝙨 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙨𝙚𝙪𝙡 𝙤𝙣 𝙚𝙨𝙩 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙩𝙤𝙞. 𝘽𝙞𝙜 𝙛𝙤𝙧𝙘𝙚 𝙢𝙤𝙣 𝙛𝙧𝙚̀𝙧𝙚. » Des centaines de supporters suivent aussi via leurs réseaux sociaux.