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Crocodile Dundee pour de vrai en Floride !

Mike Dragich n’en est pas à son coup d’essai. Ce vétéran de l’armée américaine a réussi à maîtriser un alligator de plus deux mètres, en pleine rue, sans arme, sans chaussure ! Une image qui fait le tour du monde depuis quelques heures.

La scène se passe en Floride (Etats-Unis), du côté de Jacksonville. L’animal mesure environ 2,40 mètres. Aperçu errant dans les rues d’un quartier résidentiel en pleine journée, il est tombé sur le chemin de Mike Dragich. Passionné de MMA (mixed martial arts), l’homme neutralise l’animal en quelques secondes. C’est digne d’un film d’action. Les gestes parfaits, aux bons moments. Et heureusement pour cet homme.

Sur ces images du média local News3jax, on découvre aussi que cet homme a déjà un surnom, « Bluecollar Brawler », le bagarreur au collier bleu. Ce vétéran de l’armée US aurait été sollicité par le shérif de la ville alors qu’il assistait à un match de hockey. Ainsi, il déboule sans matériel pour éviter le pire aux habitants du quartier.

Short, débardeur, pieds nus… Et ce « Crocodile Dundee » des temps modernes maîtrise l’alligator. Les smartphones sont de sortie pour immortaliser la scène. Les médias américains précisent à tous ceux qui regardent ces images de ne pas tenter de réaliser cette capture eux-mêmes si ils tombent par hasard sur un alligator… On s’en serait douté.

Explosions en Iran : deux versions bien différentes et un appel au calme

Des explosions, des drones abattus. Le centre de l’Iran cible d’attaques non revendiquées, cette nuit. Les Etats-Unis affirment que ces tirs sont des représailles israéliennes. Israël s’abstient de tout commentaire.

Ce vendredi matin, lors d’un déplacement en Finlande, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen envoie un message clair : il est « absolument nécessaire » que la situation reste « stable » au Proche-Orient. L’Union européenne incite les parties prenantes à « s’abstenir de toute nouvelle action ».

La nuit dernière, plusieurs explosions depuis le centre de l’Iran ont été rapportées. Une attaque israélienne selon plusieurs hauts fonctionnaires américains. Une attaque qui ferait suite aux tirs de drones et de missiles contre Israël le weekend dernier. Escalade permanente entre Israël et l’Iran ? Puisque la riposte iranienne faisait déjà suite à l’attaque de l’annexe de l’ambassade d’Iran en Syrie, le 1er avril.

Plus précisément, l’agence de presse iranienne Fars rapporte trois explosions près d’une base militaire à Qahjavarestan, entre la ville d’Ispahan et son aéroport. Des drones ont été abattus mais il n’y a pas eu d’attaque par missiles. Mais selon l’Iran, « aucune information fait état d’une attaque de l’étranger ». Vu le peu de dégâts, est-ce une volonté d’éviter justement d’entrer dans un conflit violent et permanent avec Israël ?

Car du côté de Washington, les informations du Washington Post semblent assez claires : Israël voulait montrer sa capacité à frapper l’intérieur du pays. Des informations d’une attaque connues aux Etats-Unis depuis jeudi.

Le journal américain The New York Times cite quant à lui des responsables iraniens. Selon eux, l’attaque aurait été menée par de petits drones, possiblement lancés depuis le territoire iranien, et les défenses aériennes « n’ont pas détecté d’objets volants non identifiés franchissant l’espace aérien iranien ». Un récit parallèle afin d’éviter un conflit frontal qui s’enliserait dans une guerre régionale ?

Les États-Unis affirment avoir été prévenus jeudi de l’attaque israélienne sur l’Iran mais ils n’ont ni approuvé l’opération ni joué aucun rôle dans son exécution, ont déclaré plusieurs responsables cités par les chaînes NBC et CNN.

Téhéran promet de réagir à la « moindre action » d’Israël

C’est un avertissement qui a le mérite d’être clair. Et qui plonge le monde dans toujours plus d’incertitudes. Le président iranien, Ebrahim Raïssi, s’est montré catégorique, via un communiqué publiqué ce mardi : Il prévient Israël que « la moindre action » contre « les intérêts de l’Iran » provoquerait « une réponse sévère » de son pays.

Ce communiqué diffusé par l’agence de presse iranienne ISNA annonce « une réponse étendue et douloureuse contre tous les auteurs » d’une attaque israélienne. Lors d’un entretien téléphonique avec l’émir du Qatar, Tamim Ben Hamad Al Thani, tard ce lundi, Ebrahim Raïssi explique que « son pays exerce son droit à l’autodéfense », suite à l’attaque d’Israël sur une annexe de l’ambassade d’Iran à Damas, en Syrie, le 1er avril. Précisant par ailleurs qu’une « cause de tension dans la région » est « le soutien aveugle de certains pays occidentaux au régime sioniste ».

Des déclarations fermes et angoissantes pour le monde entier. Car en parallèle, le ministre des affaires étrangères israélien appelle ses homologues de 32 pays, dont la France, à prendre des sanctions contre l’Iran.

Israël Katz a envoyé ce mardi matin des lettres et « a parlé avec des dizaines de ministres des affaires étrangères et de personnalités du monde entier appelant à imposer des sanctions contre le projet de missile iranien et à ce que le corps des gardiens de la révolution islamique soit inscrit sur la liste des organisations terroristes ». Des mesures qu’il estime aptes à « freiner et affaiblir » la République islamique.

Dans les colonnes du Monde, Josep Borrell, chef de la diplomatie de l’Union européenne (UE), explique que « pour mettre en place des sanctions, il faut des choses sanctionnables ». Pour classer les gardiens de la révolution islamique sur la liste des organisations terroristes, « il faut qu’une autorité judiciaire d’un État membre considère que cette organisation a commis un acte terroriste. Ce n’est pas le cas jusqu’à présent ».

Le G7 s’organise pour éviter une guerre avec l’Iran

La Maison Blanche appelle à une désescalade du conflit, ce dimanche. Après une nuit de peur, où l’Iran a mené une attaque préméditée sur Israël, envoyant missiles et drones sur le dôme de fer. Des tirs lancés en réponse aux assauts israéliens sur son ambassade en Syrie, début avril.

Après les frappes, l’appel au calme. Les Etats-Unis ont déclaré ce dimanche 14 avril ne pas vouloir d’une « escalade » ni d’une « guerre étendue avec l’Iran ». John Kirby, le porte-parole du Conseil national de sécurité de la Maison Blanche, a mis au clair les intentions américaines.

Pour autant, vu de France, le quai d’Orsay demande aux ressortissants français de quitter l’Iran. Au moins « temporairement ». À cause justement du « risque d’escalade militaire »… Qui suivre ? Les décisions se prennent au jour le jour. Vendredi, en prévention de frappes iraniennes annoncées de toute part, Paris avait déjà demandé aux Français d’éviter de voyager dans ce pays, mais aussi « au Liban, en Israël et dans les territoires palestiniens ».

Suite aux attaques de l’Iran sur le territoire israélien, la nuit dernière, le Royaume-Uni a confirmé avoir abattu des missiles et drones de combat. Tout cela dans le cadre d’un « effort international coordonné ». Selon l’armée israélienne, ces attaques n’ont pas engendré de destruction importante. Selon l’agence officielle iranienne Irna, les tirs ont bien provoqué de « sérieux dégâts ». Communication contre communication. Une fillette est toujours entre la vie et la mort après avoir été touchée par des débris de drone dans la ville d’Arad.

La seule lueur d’espoir vient peut-être de ces déclarations iraniennes. Pour le général Mohammad Bagheri, l’affaire serait close. « L’opération Promesse honnête a été menée avec succès entre hier soir et ce matin, et a atteint tous ses objectifs », a expliqué le chef des forces armées du pays. Précisant qu’il fallait voir ces attaques comme une réponse à la frappe attribuée à Israël de son consulat à Damas (Syrie) le 1er avril (16 mort).

À suivre, le compte-rendu de la réunion extraordinaire des pays du G7, convoqués par Joe Biden cet après-midi. Les dirigeants de la France, des Etats-Unis, du Canada, du Japon, du Royaume-Uni, de l’Italie et de l’Allemagne doivent en ce moment coordonner une « réponse diplomatique unie ». Enfin, une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU est prévue dimanche à 22 heures.

Percuté par un cargo, un pont s’effondre (vidéo)

Des images spectaculaires et inquiétantes. Pour un accident majeur. De quoi faire énormément réagir dans le monde entier sur les réseaux sociaux.

Le pont Francis Scott Key à Baltimore (Maryland, Etats-Unis) s’est effondré, vers 1h35 ce mardi, après avoir été percuté par un cargo. Les vidéos totalisent des millions de vues : on y voit l’effondrement du pont causé par le choc avec l’imposant navire.

L’autorité des transports du Maryland a communiqué sur le réseau social X pour informer les populations et préconiser aux automobilistes d’éviter la zone.

La police de Baltimore a communiqué à la chaîne NBC que des personnes sont tombées dans la rivière, « possiblement une vingtaine ». Ainsi que des voitures. Les secours sont à pied d’œuvre.

Certains internautes ont déjà retrouvé avec nostalgie des images d’archives de ce célèbre pont de Baltimore, utilisé notamment pour une scène de la saison 2 de la série multi-récompensée « The Wire ».

Bonheur : la Finlande au top, la France fait flop

Il est où le bonheur ? En Finlande ! Pour la septième fois consécutive, la Finlande prend la première place du rapport mondial sur le bonheur dans le monde, publié ce mercredi.

Les pays nordiques ont décidément le vent en poupe. Le Danemark, l’Islande ou encore la Suède figurent aussi dans le top 10. Ne cherchez pas la France trop haut placé, elle ne figure qu’à la 27e position…

Dans ce rapport parrainé par l’ONU, on apprend aussi qu’aucun des pays les plus peuplés au monde ne figure parmi les vingt premiers. « Parmi les dix premiers, seuls les Pays-Bas et l’Australie comptent plus de 15 millions d’habitants. Au sein des vingt premiers, seuls le Canada et le Royaume-Uni comptent plus de 30 millions d’habitants. »

Au fond de la classe, on retrouve l’Afghanistan, qui dégringole au classement depuis le retour au pouvoir des talibans en 2020. Il occupe la dernière place des 143 pays. Si la France n’apparaît pas dans le top 20, maigre consolation, l’Allemagne (24e) ou les Etats-Unis (23e) non plus ! En revanche, le Costa Rica (12e) et le Koweit (13e), oui.

La Serbie, la Bulgarie et la Lettonie sont les pays qui affichent les plus fortes progressions depuis une quinzaine d’années. Ce rapport se base sur l’évaluation que les gens font de leur bonheur, ainsi que sur des données économiques et sociales, récupérées par l’ONU. Avec six facteurs clés : le revenu, la santé, la liberté, le soutien social, la générosité et l’absence de corruption.

Mais pourquoi la Finlande caracole en tête ? « L’équilibre entre travail et vie privée » est un élément clé. Mais aussi « la proximité avec la nature », ce qui expliquerait la satisfaction des Finlandais, d’après Jennifer De Paola, chercheuse spécialisée dans cette thématique à l’Université d’Helsinki. Les Finlandais ont peut-être une « compréhension plus accessible de ce qu’une vie réussie est », comparé par exemple aux États-Unis où la réussite est souvent associée aux gains financiers, ajoute-t-elle.

Un « bonheur » exprimé car ce pays exprime encore aussi sa confiance dans les institutions et une faible corruption. « La société finlandaise est imprégnée d’un sentiment de confiance, de liberté et d’un niveau élevé d’autonomie », selon la chercheuse.