Michel Drucker s’exprime sur son successeur à la télé
Dans une entrevue enflammée sur Europe 1 ce vendredi 19 avril, Michel Drucker, l’icône de la télévision française, a partagé ses réflexions sur les animateurs qui pourraient potentiellement prendre sa place. Invité dans le studio de «Culture Médias» avec l’incontournable Jean-Pierre Foucault, Drucker a offert un spectacle divertissant et plein d’anecdotes.
Dès le début, Drucker a été salué par Foucault comme « un petit animateur qui débute », une plaisanterie qui a mis le ton pour une conversation animée. Interrogé sur qui pourrait lui succéder, Drucker a esquivé en plaisantant que Foucault pourrait être son remplaçant, une réponse qui a déclenché des rires dans le studio.
Le jeu de questions-réponses a ensuite commencé, avec des noms d’animateurs célèbres comme Léa Salamé, Hugo Clément, Camille Combal et Ophélie Meunier. À la grande satisfaction de Foucault, Drucker a approuvé chacun d’eux, mais il a hésité lorsque le nom de Yann Barthès est apparu. « Ça serait décalé », a-t-il admis avec un sourire, ajoutant une anecdote sur leur amour commun pour les chiens.
Pourtant, parmi tous ces noms, Drucker a réservé une mention spéciale à Cyril Féraud, exprimant son admiration pour ce dernier depuis ses débuts. Cependant, il a admis que le véritable problème était que tous les animateurs mentionnés étaient talentueux, ce qui a rendu la décision difficile.
Mais la conversation s’est vite retournée vers l’éloge de Foucault, que Drucker a qualifié de « recordman absolu de la radio », soulignant ses impressionnantes décennies d’expérience. Il a même tenté de convaincre Foucault de revenir sur Europe 1, un appel qui a été chaleureusement reçu mais subtilement écarté par le principal intéressé.
En dehors de la succession potentielle de Drucker, une autre annonce a égayé l’interview : son émission phare sur France 3, « Vivement dimanche», sera prolongée de trente minutes. Drucker a partagé sa joie face à cette décision rarement vue dans le monde des médias, décrivant comment d’habitude, on lui demande de réduire le temps de l’émission, mais cette fois, on lui demande d’en faire plus.
Ainsi, alors que les spéculations sur la relève de Drucker continuent de faire rage, une chose est sûre : le monde des médias français continue d’évoluer, avec ou sans ses légendes établies.
