Elie Semoun : « Touche pas à mon poste est une secte ! »

23 novembre, 2015 / Jerome Goulon

Invité du Grand direct des médias sur Europe 1, l’humoriste des « Petites annonces » a révélé avoir reçu de nombreuses insultes suite à la diffusion de ses sketches dans Touche pas à mon poste.

 

En plein promotion de son spectacle « À partager », débuté le 17 novembre au Grand Point Virgule, Elie Semoun était l’invité de Jean-Marc Morandini dans le Grand direct des médias sur Europe 1. L’interprète des « Petites annonces » est revenu sur sa participation dans Touche pas à mon poste sur D8.

S’il était prévu que la diffusion de ses sketches ne dure que deux mois, Elie Semoun ne compte pas réitérer l’expérience : « C’est fini. C’était prévu que j’arrête. Ca m’a demandé un travail de fou : il fallait que j’en écrive vingt par jour. Je me suis arrêté parce que je devais faire l’émission diffusée samedi sur D8 et mon spectacle. »

Mais son emploi du temps surchargé n’est pas la seule raison à l’arrêt de sa collaboration avec le programme de D8. Car en acceptant la proposition de Cyril Hanouna, l’humoriste ne s’attendait pas à recevoir autant de critiques de la part des téléspectateurs : « Parfois je me disais que c’était un peu décalé par rapport à l’émission de Cyril Hanouna. J’avais l’impression que les réactions n’étaient pas toujours très positives. J’ai un Twitter où il y a pas mal de monde et je me suis jamais autant fait insulter que quand j’ai passé ces fameuses Petites annonces chez Cyril. On a l’impression que c’est une secte. Quand on fait un truc nouveau chez Cyril, on se fait massacrer. Il faut être accepté par les téléspectateurs de Cyril. » Avant de poursuivre : « J’ai discuté avec Camille Combal qui m’a confié qu’il lui a fallu six ou sept mois avant d’imposer sa rubrique et avant que les gens l’accepte. »

Entrevue vous propose de découvrir la séquence !

 

Elie Semoun enchaîne les interviews pour la promotion de son spectacle. Mi-novembre, l’humoriste avait d’ailleurs été victime d’une bourde de Maïtena Biraben sur le plateau du Grand Journal.